Quelqu'un a écrit :
"Aussi extravagants que soient les actes des hommes, la nature garde son rythme. Ceux qui vivent en tête-à-tête avec elle savent qu'il convient de ne pas s'arrêter pour si peu. Les turpitudes humaines ont-elles tant d'importance ?
...
L'arbre, dédaigneux de la cognée, marque lentement sa chair des ronds de sa croissance. Le pissenlit dresse son aigrette duveteuse en attendant d'être mangé. Le pré, piétiné sous les sabots de corne, souillé d'excréments en flaques, verdit, se pare de boutons d'or, embaume.
...
Que leur importe l'adversité à ceux-là qui vont toujours de l'avant ?"
Mais nous autres, qui que nous croyons être, qui que nous soyons, sommes plus orgueilleux...